Un texte que je n'ai pas écrit mais que je trouve truculent////
/par J.Drillon en écho à JP de Lille et à son origine du Monde..
La revanche du vagin. celui là de jj suivra...
le temps de dessiner mes mots sur Votre amie "Pussy"... Messieurs,
Forcément, il y a le tout et les parties, le visible et l' invisible, et ce qu'on y fait, ce qu'on en fait, comment on s' y perd, comment on s'y sent.
Le sexe féminin outre qu 'il est une "boite à nœuds, boite à ouvrages , boite à Popaul", est boite à métaphores, à métonymies, toutes inventées par les Messieurs sous des petits noms gentils qui ne veulent rien dire "le bonbon, le minet ,la petite sœur, la coucoune, le frissonnet,"se cache un endroit mystérieux....
"le triangle des Bermudes, l'atelier de Vénus, l'enfer, la bouche de métro...c 'est'"un mistigri, ce "fri-fri", un "pertuis" que les hommes passent,
"un guichet, une lucarne, une écoutille", qu'ils soulèvent en tremblant ( peur, émotion, désir )
même si certains mots sont précis "crête de coq, le bouton" sans que l'on sache vraiment s'il s'agit du col de chemise, de l'acné ou ou de la fleur...
et d'autres plus vagues, "la rididine, le croucougnoux, la cuisine, le croximagouin, le zinzin,"
ils montrent presque tous comment le mâle considère ce "trou chéri"
C'est un point de vue qui se révèle du haut "de la motte", sur "la vallée de Chevreuse"
On se glisse dans "la brèche, le corridor", on cogne contre "l'enclume", on péte "le joint de culasse "s'enfile dans "l'entonnoir","un fourre tout" où l"on se fait prendre dans "le gaufrier", dans "le piége à flageolets", "le goulu", "le croque monsieur",
prisonnier de la cage, aspiré par "la ventouse", cuit dans "le chaudron", broyé par" l'étau", par ce "casse noix", griller dans ce "buisson ardent"
Mais on voyage, dans ce "pays bas", on adore ce" trésor", ce temple" cette "urne"
On prie devant "la rosace, dans "la chapelle ardente", mais on veut y aller dans "le but d'amour"
Alors on tombe dans "la trappe", "le cratère"
On perd tout ce que l"on a dans "la tirelire", "le vide poches", "le porte monnaie",
Alors on dévore "la palourde", la moule", "l'huitre", la crevette", "la gaufrette", " l'escalope", "la framboise", l"amande", "la féve", "la figue"...
"la couture", c'est l"abricot",
"un as de pique", un bijou", "un anneau", "un blason", "une étoile de mer"...
Chose centrale et symétrique, toujours mi- partie, comme l'on dit en héraldique : "un cœur fendu","une cicatrice", "un bifteck à charnière", "la raie d'en bas", "un entre deux ", "une fendasse", "la bouche du mitan"..
L'épouvantable épilation qui montre "l'étalage", fait presque oublier "le barbu", "le bonnet du grenadier", "la tarte aux poils", le gracieux "angora", "la cressonnière", "le chignon", "le bouquet de persil", et la si simple "touffe"..
On ne verra plus qu'un baveux", "un lac", un lamentable "bénitier", "une cracouillasse", "une chaglate", "un machin"...
N'est ce pas "con" tout cela ?????
/par J.Drillon en écho à JP de Lille et à son origine du Monde..
La revanche du vagin. celui là de jj suivra...
le temps de dessiner mes mots sur Votre amie "Pussy"... Messieurs,
Forcément, il y a le tout et les parties, le visible et l' invisible, et ce qu'on y fait, ce qu'on en fait, comment on s' y perd, comment on s'y sent.
Le sexe féminin outre qu 'il est une "boite à nœuds, boite à ouvrages , boite à Popaul", est boite à métaphores, à métonymies, toutes inventées par les Messieurs sous des petits noms gentils qui ne veulent rien dire "le bonbon, le minet ,la petite sœur, la coucoune, le frissonnet,"se cache un endroit mystérieux....
"le triangle des Bermudes, l'atelier de Vénus, l'enfer, la bouche de métro...c 'est'"un mistigri, ce "fri-fri", un "pertuis" que les hommes passent,
"un guichet, une lucarne, une écoutille", qu'ils soulèvent en tremblant ( peur, émotion, désir )
même si certains mots sont précis "crête de coq, le bouton" sans que l'on sache vraiment s'il s'agit du col de chemise, de l'acné ou ou de la fleur...
et d'autres plus vagues, "la rididine, le croucougnoux, la cuisine, le croximagouin, le zinzin,"
ils montrent presque tous comment le mâle considère ce "trou chéri"
C'est un point de vue qui se révèle du haut "de la motte", sur "la vallée de Chevreuse"
On se glisse dans "la brèche, le corridor", on cogne contre "l'enclume", on péte "le joint de culasse "s'enfile dans "l'entonnoir","un fourre tout" où l"on se fait prendre dans "le gaufrier", dans "le piége à flageolets", "le goulu", "le croque monsieur",
prisonnier de la cage, aspiré par "la ventouse", cuit dans "le chaudron", broyé par" l'étau", par ce "casse noix", griller dans ce "buisson ardent"
Mais on voyage, dans ce "pays bas", on adore ce" trésor", ce temple" cette "urne"
On prie devant "la rosace, dans "la chapelle ardente", mais on veut y aller dans "le but d'amour"
Alors on tombe dans "la trappe", "le cratère"
On perd tout ce que l"on a dans "la tirelire", "le vide poches", "le porte monnaie",
Alors on dévore "la palourde", la moule", "l'huitre", la crevette", "la gaufrette", " l'escalope", "la framboise", l"amande", "la féve", "la figue"...
"la couture", c'est l"abricot",
"un as de pique", un bijou", "un anneau", "un blason", "une étoile de mer"...
Chose centrale et symétrique, toujours mi- partie, comme l'on dit en héraldique : "un cœur fendu","une cicatrice", "un bifteck à charnière", "la raie d'en bas", "un entre deux ", "une fendasse", "la bouche du mitan"..
L'épouvantable épilation qui montre "l'étalage", fait presque oublier "le barbu", "le bonnet du grenadier", "la tarte aux poils", le gracieux "angora", "la cressonnière", "le chignon", "le bouquet de persil", et la si simple "touffe"..
On ne verra plus qu'un baveux", "un lac", un lamentable "bénitier", "une cracouillasse", "une chaglate", "un machin"...
N'est ce pas "con" tout cela ?????
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